Même s'il génère beaucoup de recettes pour le pays, le secteur pétrolier ne contribue pas à réduire le chômage, qui était évalué à 29 %, en 2003 et qui est aujourd'hui aux alentours des 9.8%. En conséquence, l'Algérie déploie des efforts considérables pour amenuiser ce problème , on est aux alentours de -10% à ce jour, démontrant le chemin parcouru.
L'économie algerienne : saine. et en avenir
Il est pas facile de résumer l'économie de l'Algerie , mais qui toutefois mérite que l'on s'y arrête quelques instants d'autant que c'est le premier Africain à avoir une économie des plus brillantes mais ignorés de beaucoup d'entre nous même si les hydrocarbures sont en fin de cycle et qu'il ya une véritable question de repartition de cette richesse venan t du sous sol algérien.
En comparaison des autres pays africains, l'Algérie présente un bilan économique favorable. Il reste que pour continuer de croître,
À l'heure actuelle, le gouvernement algérien travaille surtout à moderniser le système économique du pays et à tisser des liens internationaux, et plus précisément à réduire le chômage et à diversifier l'économie, qui est fortement tributaire de l'industrie pétrolière.
En 2001, le gouvernement algérien avait mis en oeuvre un programme de redressement économique favorisant la croissance et la stabilité de l'économie. Ce programme de 7 milliards de $US visait à revitaliser la production agricole, à développer le réseau public de distribution d'eau, à améliorer l'infrastructure et les services de transport, à rehausser le niveau de vie et à encourager les projets locaux de mise en valeur. Celà a été fait et continue d'être perpetuelement amélioré
>D'autres plans de réforme visent à intégrer l'Algérie à l'économie mondiale en libérant le pays de sa dépendance à l'égard de l'industrie des hydrocarbures et en permettant aux entreprises privées de tirer profit des débouchés offerts par les secteurs algériens de l'énergie et des mines.
Les initiatives de libéralisation de l'économie ont déjà commencé à porter leur fruit. En 2003, l'investissement étranger direct (IED) fait au pays par suite des réformes économiques et de la modification des règlements régissant l'investissement a totalisé 2,3 milliards de $US, ce qui classe l'Algérie au deuxième rang des pays africains pour l'importance de l'IED. l'algérie a depuis une politique tout azimut de developper les entreprises infrastructures, en prenant en compte le savoir faire de l'Algérie et répondant aux attentes légitimes de la population.
Cependant on ne s'arrache pas d'un secteur qui produit de la richesse et des moyens sustanciels pour l'investissement et le developpement de moyens énergetiques alternatifs, sans précédent sont mis en place .
Même s'il génère beaucoup de recettes pour le pays, le secteur pétrolier ne contribue pas à réduire le chômage, qui était évalué à 29 %, en 2003 et qui est aujourd'hui aux alentours des 9.8%. En conséquence, l'Algérie déploie des efforts considérables pour amenuiser ce problème , on est aux alentours de -10% à ce jour, démontrant le chemin parcouru.
Dans le cadre du programme de réforme économique, des projets de construction de logements, de routes et de réseaux hydrauliques à forte intensité de main-d'oeuvre ont été entrepris et emploient les jeunes dont le nombre croît sans cesse.
Le secteur des hydrocarbures est le pilier de l'économie : il représente 60 % des recettes prévues au budget, 30 % du PIB et 97 % de l'ensemble des recettes d'exportation. Grâce à sa production, le budget est équilibré, la balance des paiements est excédentaire et les réserves de devises, qui atteignaient 32 milliards de $US en 2003, croissent régulièrement.
Malgré l'apport généreux de ce secteur, le gouvernement algérien désire diversifier davantage l'économie et orienter l'investissement vers des secteurs autres que celui de l'énergie. Avec la diversification du marché, la santé de l'économie algérienne ne dépendrait plus du rendement d'un seul secteur. Le PIB croît de façon régulière : il est passé de 2,4 %, en 2000, à 7 %, en 2003.
Le PIB réel et le PIB par habitant ont aussi connu une progression soutenue.
Le PIB réel a atteint 62 millions de $US, en 2003, soit près de 20 % de plus qu'en 2000. Le PIB par habitant a atteint un sommet sans précédent de 1 890 $US, en 2003. Une planification économique bien ciblée est nécessaire à la croissance générale en Algérie.br />
Dans le passé, des réformes devaient être entreprises du fait que les dépenses étaient élevées et que les recettes provenant de la production pétrolière et gazière étaient plus faibles. Selon les prévisions, la croissance du PIB réel demeurera élevée en 2004 (6,2 %), en raison du fort rendement de l'industrie du pétrole et du gaz, et grimpa à 7,5 % en 2005.
Le PIB devrait atteigna un sommet de 71 milliards de $US en 2004, ce qui représente une hausse marquée de 10 milliards de $US par rapport à 2003.
De même, le PIB par habitant s'élever à 2 110 $US en 2004.Le IDH est à 0.7 .
Dans l'ensemble, les recettes d'exportation ont atteint plus de 32 milliards de $US en 2004, en raison des sommets sans précédent que les prix du pétrole ont atteints.
>La banque centrale de l'Algérie a accumulé suffisamment de dépôts pour satisfaire aux besoins de financement du budget et de la balance des paiements pour une période de plus de dix ans après un repli quelconque des prix du pétrole.
Mieux encore, l'Algérie est le deuxième plus gros détenteur de réserves de change après l'Arabie saoudite.
Son excédent courant avait atteint 9,5% du PIB en 2011 (à titre de comparaison, l'Allemagne ne dégage qu'un excédent courant de 6% du PIB).
L'Algérie est aussi le pays le moins endetté des pays de la région (environ 10% du PIB cette année). Le gouvernement a donc amplement les moyens pour soutenir l'économie. Et prevenir l'avenir.
Depuis 2003, le pays consacre 50% de la fiscalité pétrolière (soit environ 13% du PIB) aux transferts sociaux (770 milliards de dinars, soit 75 milliards d'euros), selon une étude du CERI.
Les résultats sont là: le taux de pauvreté est tombé à 4,9% de la population totale pour 12,1% en 2000. Même si les salaires sont bas , le prix des matieres premieres de premiere necessité même s'ils tendent à augmenter, on vie plus largement et plus sainement qu'en Europe, une raison à cela on priviligie le frais et le bio .
Elle presente une dette exterieure inferieur à 2,00% alors que la moyenne de la region est aux alentours de 20%
De ce fait elle est pratiquement considéré par les medias arabes comme la premiere économie du monde arabe et la 11e du monde, ni plus ni moins.
Anedoctiquement le pays est un grand producteur de liége. egalement.