Biodiversité en Algérie un trésor protégé
Elle possède des zones biogéographiques parmi les plus rares du monde et une biodiversité de grande importance.Sur les 25 000 espèces connues de plantes méditerranéennes, ce qui correspond à 9,2% des espèces inventoriées dans le monde, sur un territoire représentant 1,5% de la surface terrestre, pas moins que celà. Dans un pays béni , et bordé d'une plus belles mer du monde on n'est pas étonné.
Depuis le sommet de la Terre de Rio l'Algérie a pris des engagements ont été pris pour éviter l’érosion et le pillage par les industries agro-industrielles et pharmaceutiques. Si l’Algérie s’est engagée dans un grand chantier de construction d’un édifice constitutionnel pour la préservation de la biodiversité. Le Pr Médiouni secondé par Sidali Ramdane du ministère de l’Environnement, et qui ont le mérite d’avoir fait un premier inventaire du patrimoine et jeter les bases de structures nationales opérationnelles. le but échappé à la main mise des industriels agricoles.
Plusieurs enjeux persistent pour protéger la nature : eaux usées, déchets solides, réduction des habitats, urbanisation, démographie, infrastructures, grands ouvrages hydrauliques.
La protection des chauve-souris évite l’emploi de ces grandes quantités d’insecticides . Une seule chauve-souris peut manger jusqu’à 6000 moustiques par heure !
Dans un pays possédant un desert immense , la question de l'eau est un enjeu compte tenue de la croissance démographique dégrade les points d’eau
Des centaines d’espèces ont établi dans chaque point d’eau un réseau trophique complexe assurant un fonctionnement équilibré. Une telle richesse écologique traduit de grandes valeurs en biodiversité. Ces milieux ont cependant subi une dégradation sévère liée aux effets de la croissance démographique.
Afin de protéger la nature une lutte sans merci est entreprise contre les pullulations d’organismes très polluo-résistants ainsi que des vecteurs de maladies (paludisme, fièvre jaune, leishmaniose) et la raréfaction des poissons.
Des bases de données et des recherches sont en cour pour établir des cartes faunistiques (poissons et invertébrés) pour identifier des zones sensibles, soit fortement dégradées et à restaurer, soit encore préservées des activités humaines et donc à conserver. Cela permettra encore de planifier les éventuelles interventions d’aménagement pour valoriser les milieux naturels.Dans les zones humides et les eaux douces, de nouvelles espèces, invertébrées essentiellement, ont également été identifiées
On compte plus de 70 espèces d’arbres dont certains sont endémiques et locales comme le cyprès du Tassili, le sapin de Numidie et le Pin noir.c'est mille deux cent kilomètres de côtes montagneuses.Le blé du Tell est connu depuis l’empire romain La clémentine a été « inventée » à Oran.Le blé d’Oued Znati , les olives et les figues de la Kabylie, les oranges et les clémentines d’Oran, les fraises de Skikda, les oignons de Mzed edchich , la pastèque de Guerbes , les moutons de Souk Haras , sont connus dans le monde entier .
Les espèces spontanées et endemiques les secteurs les plus remarquables pour l’endémisme sont la côte oranaise, par la petite Kabylie et la grande Kabylie, les espèces rares, la Numidie littorale arrive en tête, suivie de la Mitidja d’Alger. .Concernant la flore elle représente un potentiel inestimable unique au monde , quand aux fruits et légumes il suffit de s'alimenter à loa campagne pour voir la différence de gout avec les produits vendus en Europe. Il n'ya rien à voir .